Un sénateur américain qui propose de retirer aux parents la garde de leur enfant s’ils ne le vaccinent pas. Un ministre australien qui est d’avis de leur supprimer les allocations familiales. Voilà deux signes récents qui trahissent bien l’extrême nervosité de l’establishment médico-pharmaceutique et de ses relais politiques.
Plus la population manifeste sa méfiance envers les vaccinations, plus les lobbies de l’industrie vaccinale s’agitent en coulisses pour en imposer les
dogmes.
Avec certains virologues, l’église pasteurienne dispose également d’inquisiteurs bénévoles qui ne ratent jamais une occasion de fustiger les parents apostats. En Belgique, nous avons notamment Nathan Clumeck, spécialiste du sida et grand pourfendeur des idées dissidentes, qui a encore récemment abondé dans le sens du politicien australien : pour lui, « le bénéfice des vaccins ne se discute même pas » et il est juste de pénaliser ceux qui en doutent. On se rapproche doucement d’une forme de dictature médicale interdisant la moindre contestation de l’immunisation forcée.
Heureusement, de plus en plus d’enfants peuvent compter sur leurs géniteurs pour les protéger du viol à la seringue. De mieux en mieux informés, des parents osent faire valoir leur droit au consentement éclairé et demandent aux autorités sanitaires de justifier l’obligation vaccinale, ou même d’étayer la recommandation de vaccins facultatifs. Ils réclament les preuves de leur innocuité et de leurs avantages, tout en avançant des arguments de bon sens et des données scientifiques plaidant plutôt en défaveur de la stimulation immunitaire artificielle. Cette semaine, dans ma boîte mail, j’ai reçu copie d’une lettre envoyée par un couple suisse à l’organisme local en charge du programme de protection infantile. Dans ce courrier, les deux parents expliquent qu’ils entendent, eux, « protéger leurs enfants contre la vaccination », en l’occurrence celle de la rougeole. J’ai trouvé la démarche épatante, et surtout admiré le sérieux avec lequel ils ont rédigé ce texte en faisant leurs propres recherches et en citant leurs sources. Moi qui vient justement de publier deux articles sur le sujet dans Néosanté (celui d’avril et celui de mai), j’ai pourtant appris plein de choses et découvert des éléments que je ne connaissais pas.
C’est pourquoi je reproduis ci-dessous la lettre du couple helvétique. Avec les infos de notre mensuel, elle pourrait être une excellente source d’inspiration pour d’autres parents « ni irresponsables, ni égoïstes » qui refusent que leur progéniture soit vaccinée contre la rougeole. Si de telles initiatives se multipliaient, je pense que le mythe vaccinaliste tout entier finirait par vaciller et que les polichinelles au pouvoir finiraient par percevoir les ficelles qui les manipulent. Ceci dit, la sottise politique ne me chagrine pas toujours, car elle oblige parfois les gourous de la secte pasteurienne à se tirer une balle dans le pied. Ainsi, dans l’interview accordée au journal le Soir le 14 avril dernier, le Pr Clumeck déclare qu’il suffit qu’ « environ 80% de la population soit vaccinée pour qu’un virus contagieux soit bloqué et que le bénéfice de la vaccination soit réel ». C’est une grande première, car le discours officiel sur l’immunité de troupeau évoque généralement des seuils de 90 à 95 % de personnes vaccinées pour assurer une protection collective efficace. Or, les propos du distingué docteur-ès-sida indiquent que la société pourrait très bien tolérer 20% de réfractaires à son idéologie dominante. Voilà une brèche béante dans laquelle tous les parents aimants pourraient s’engouffrer pour exiger et obtenir – enfin – la liberté vaccinale ! En suivant, par exemple, l’exemple des parents exemplaires dont voici à présent la prose…
Yves Rasir
Nous protégeons nos enfants contre la vaccination. |
Madame, Monsieur, Chers médecins, La rougeole, une maladie grave ? L’argument de la campagne pour la vaccination est que « la rougeole n’est pas une maladie anodine ». Il serait évidemment irrespectueux pour les victimes de complications de la rougeole de prétendre que cette maladie est totalement bénigne. Cependant, c’est un fait que la rougeole est bien moins dangereuse pour les enfants que ce que l’on prétend parfois : en 1963, le taux d’hospitalisation parmi les malades était de 11.5 pour 1'000 et le taux de létalité de 0.2 pour 1'000. La moitié des malades décédés avaient des pathologies graves ou des handicaps connus avant l’infection par le virus de la rougeole et qui les rendaient fragiles. Une encéphalite a été rapportée dans un cas sur 1'000 mais ne laissait de loin pas toujours des séquelles.(1) Enfin, en 1977 dans nos contrées européennes, sur 100 rougeoleux hospitalisés – donc des cas choisis pour leur sévérité – la mortalité était de 0,17(2) . Certes, la rougeole est aujourd’hui une maladie de moins en moins anodine, puisque le taux d’hospitalisation peut atteindre un malade sur trois en Suisse(3) . Il a donc été quasiment multiplié par 30 depuis la vaccination, principalement en raison du glissement de la maladie vers les adultes et les nourrissons. Par contre, la maladie reste bénigne pour les personnes en bonne santé, comme en témoignent les chiffres britanniques : plus de 100'000 cas ont été rapportés depuis 1992, mais pas un seul décès n’a été signalé chez des personnes en bonne santé.(4) Le vaccin est-il vraiment sûr ? La campagne contre la rougeole est carrément mensongère à plusieurs égards. Elle omet largement de mentionner les effets secondaires parfois graves du vaccin, auxquels seront pourtant forcément confrontées d’innombrables familles. Par exemple, un tableau(5) accessible sur le site prétend que pour 1 million de vaccinés, il y aura 0 cas d’otite. Or, le Compendium des médicaments indique que selon les études cliniques, le ROR provoque 1-10 otites pour 1000 vaccinés, ce qui donnera non pas 0, mais 1000-10'000 otites pour 1 million de vaccinés ! Il en est de même pour les bronchites, qui toucheront elles aussi 1000-10'000 vaccinés sur un million, mais dont il n’est même pas fait mention sur le site. Votre lettre utilise l’encéphalite rougeoleuse comme argument, mais sans mentionner que le vaccin peut lui aussi provoquer une encéphalite, comme en atteste d’ailleurs la notice du vaccin. Il faut aller sur le site pour prendre connaissance de cet effet secondaire. Le CDC américain énumère également l’épilepsie (long-term seizures) et les lésions permanentes au cerveau (permanent brain damage) parmi les effets secondaires potentiels du vaccin ROR(6) . L’épilepsie est d’ailleurs un effet secondaire reconnu des vaccins pédiatriques. Des cas d’hyperactivité déclarés suite au vaccin ROR ont également été documentés(7) . En outre, le vaccin contre la rougeole est aussi vecteur d’allergies(8) . Par exemple, la Revue médicale suisse(9) elle-même rapportait en 2009 qu’ « une allergie alimentaire à la gélatine s’est développée secondairement [au vaccin ROR] chez 20-25% des patients ». Au vu de l’épidémie actuelle d’allergies, pourquoi ne pas se pencher sur le rôle des vaccins dans cette épidémie ? Un autre effet secondaire du vaccin contre la rougeole qui est systématiquement passé sous silence concerne les maladies inflammatoires intestinales comme la maladie de Crohn et la rétrocolite hémorragique. Ces maladies sont pourtant respectivement 3 et 2,5 fois plus fréquentes chez les adultes vaccinés trente ans auparavant contre la rougeole que chez les non vaccinés, comme l’a montré une étude anglaise(10) en 1995 déjà. Plusieurs études montrent également que le vaccin contre la rougeole peut provoquer des maladies inflammatoires intestinales en lien avec des troubles du développement et l’autisme régressif.(11) ,(12) ,(13) À propos de l’autisme, le site Web de la campagne contre la rougeole dément tout lien avec le vaccin. Sans doute sur la base de l’étude du Dr Wakefield parue dans le Lancet en 1999 et rétractée plus de 10 ans plus tard sur décision du GMC (British General Medical Council). Ce que vous ne savez peut-être pas, c’est que la Haute Cour britannique a annulé la décision du comité du GMC en mars 2012, car les conclusions du GMC étaient basées sur « un raisonnement inadéquat et superficiel et, dans bien des cas, une conclusion erronée »(14) . De plus, les résultats de l’étude du Dr Wakefield ont été reproduits plusieurs fois depuis 1998 (Journal of American Physicians and Surgeons, 2004(15) ; The Daily Mail, 2006(16)…). Un site Web(17) recense d’ailleurs pas moins de 28 études qui confirment les résultats de cette étude. En outre, il faut savoir que de nombreux dédommagements ont été accordés à des familles dans le monde en raison de l’effet secondaire « autisme » dû au ROR (The Daily Mail, 2010(18) ; The Huffington Post, 2013(19) ; The Daily Mail 2012(20) et Quotidiano Sanità2012(21) pour l’Italie…). Vous répondrez sans doute que la fréquence des effets secondaires est très faible (1 effet secondaire grave sur 100'000 vaccinations…). Mais c’est oublier que la notification spontanée des effets secondaires ne reflète de loin pas la réalité, d’autant plus que tout est fait pour que les pédiatres considèrent les effets secondaires des vaccins comme des coïncidences ! La vaccination est-elle un acte de solidarité ? Le dépliant de la campagne prétend que « se faire vacciner permet aussi de protéger les autres ». Si tel était vraiment un argument en faveur de la vaccination, alors pourquoi l’État ne dédommage-t-il pas les accidents vaccinaux ? Or, ils sont bien plus nombreux que ce que l’on prétend… si on voulait vraiment maintenir la confiance envers les vaccins, il faudrait au moins dédommager les effets secondaires graves, et surtout, les référencer sur une base fiable. Et la notification spontanée est tout sauf fiable… Mais le caractère solidaire de la vaccination est encore un argument exagéré. Les personnes vaccinées peuvent être des vecteurs de la maladie malgré la vaccination, et la transmettre lorsqu’elles entrent en contact avec d’autres personnes.(22) ,(23) Le CDC américain reconnaît clairement que « les virus vaccinaux peuvent rarement être transmis par la personne vaccinée à des personnes non vaccinées » (24) . Pire encore, une rougeole vaccinale survient dans 5% des vaccinations(25) , avec excrétion du virus vaccinal vivant(26) … (Il est d’ailleurs particulièrement intéressant de mentionner ici que selon un article paru en 2000 dans Nutrition Reviews, « même en l'absence d'un vaccin, vers 1960, la notification de la rougeole en Angleterre et au Pays de Galles était de 2,4% seulement »(27) !) D’ailleurs, votre lettre mentionne de récentes épidémies en Suisse. En 2013, par exemple, il y a eu deux flambées dont la source reste inconnue, ce qui signifie que la maladie n’a pas été contractée au cours d’un voyage à l’étranger(28) . Il est donc tout à fait possible que la source de ces épidémies soit le vaccin lui-même, puisque nous venons de voir que jusqu’à 5% des vaccinations provoquent une véritable rougeole avec excrétion du virus. En avril 2014, le magazine Science(29) consacrait d’ailleurs un article au cas d’une personne vaccinée ayant contracté la rougeole et provoqué une épidémie à New York en 2011. Elle a transmis la rougeole à quatre autres personnes, dont deux étaient vaccinées et les deux autres « montraient des signes d’exposition antérieure à la rougeole qui auraient dû leur donner une immunité ». Le vaccin est-il vraiment efficace ? Votre lettre stipule que la rougeole est évitable par la vaccination. Or, nous venons de voir que dans certains cas, le vaccin provoque une rougeole qui peut être contagieuse. En outre, les flambées de rougeole peuvent parfaitement toucher des populations en partie, voire en majorité vaccinées(30) ,(31) … Au point même que des épidémies comme celle de New York en 2011 puissent se déclarer à partir d’une personne vaccinée (32) . L’absence d’études comparant des enfants vaccinés et non vaccinés Le principe même de la vaccination repose sur une forme de manipulation, puisqu’il manque des études fiables comparant la santé des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés. Et les vaccins ne sont pas testés contre de véritables placebos, mais contre d’autres vaccins tout aussi dangereux – ou au moins contre des adjuvants. Il existe en fait une enquête faite en 1992 par la IAS (Immunisation Awareness Society Incorporated, Nouvelle-Zélande)(33) et portant sur 245 familles avec un total de 495 enfants. 226 enfants étaient vaccinés et 269 ne l’étaient pas. Voici des extraits de cette étude : Les résultats ont montré de manière écrasante que les enfants non vaccinés souffrent beaucoup moins de maladies chroniques infantiles que les enfants vaccinés. Il y avait une différence significative dans l’incidence de l’asthme, de l’eczéma et des infections de l’oreille chez les enfants vaccinés et non vaccinés. Au vu de ce qui précède, nous espérons que vous comprendrez que les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants ne peuvent en aucun cas être traités de parents irresponsables ou égoïstes. Avec nos meilleures salutations,
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